quinta-feira, 7 de outubro de 2010

brel




IL FAUT OUBLIER TOUT PEUT S'OUBLIER QUI S'ENFUIT DÉJÀ OUBLIER LE TEMPS DES MALENTENDUS ET LE TEMPS PERDU A SAVOIR COMMENT OUBLIER CES HEURES QUI TUAIENT PARFOIS A COUPS DE POURQUOI LE COUR DU BONHEUR.




2 comentários:

A. disse...

Imagina isto numa noite de chuva torrencial num quarto hexagonico no mato de Africa... perto de flutuar...

A. disse...

Imagina isto numa noite de chuva torrencial num quarto hexagonico no mato de Africa... perto de flutuar...